COMMENTAIRES
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Dans ma tête, elle avait déjà atteint le sommet de l'auteure « wow »! Je ne pensais pas qu'elle pouvait encore aller plus haut. Et elle l’a fait!"
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Ça m’a pris deux heures pour le terminer (Tourne ta langue 7 fois), impossible de m’arrêter."
Mélanie, lectrice,
pour Tourne ta langue 7 fois
Pamela Sauvé,
blogueuse
Judith Bannon est sans l’ombre d’un doute la reine en matière de lire une « brique » de 500 pages comme si on lisait une histoire d’à peine 100 pages tellement on dévore littéralement le roman."
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Blogue Maman Chicklit
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Il y a de ces romans qui réussissent à envoûter le lecteur du début à la fin. Qui vous font le dévorer, mais que vous aimeriez aussi savourer à petites bouchées (…) et bien celui-ci en fait partie."
J'ai osé dire que liaison.com frôlait le roman parfait (...) mais j'en ai trouvé un qui arrive à l'égaler: Revenir"
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Les descriptions minutieuses et bien dosées permettent tant de visualiser que de ressentir tout ce qui se passe. "
Blogue CatCritick
Blogue Pour l'amour de mes lectures, pour Présumée insoumise
Blogue J’aime la Chick-lit pour Présumée insoumise
BIO
Bachelière en psychoéducation et détentrice d’une maîtrise en enseignement (Et non! Aucun lien d’études avec les communications ou la littérature!), j’ai décidé en janvier 2014 d’écrire un roman (Bah! Certains décident bien d’aller au gym en janvier, moi j’ai décidé d’écrire un roman…même genre, non?!) Appréciant alors plusieurs styles littéraires - suspense, érotisme, chick-lit- j’ai choisi d’en écrire un qui marierait ces trois genres.
Une intrigue puissante (qui nous titille même quand le roman est fermé), dans laquelle on retrouve des scènes chaudes (parce qu’on aime être émoustillée et avoir des idées, non?!!), ponctuée de dialogues (beaucoup de dialogues parce que j’aime le dynamisme qui s’en dégage!!) aux propos parfois touchants, tantôt cinglants.
Je me suis donc installée à mon ordinateur, armée d’un plan (rapidement modifié, biffé puis relégué au rôle de figurant silencieux) et j’ai écrit.
Brusquement (ils auraient pu m’aviser de leur invasion cérébrale!) les personnages ont pris vie dans ma tête. Me poussant eux-mêmes à écrire ce qu’ils avaient le goût d’exprimer. Me dirigeant, tel un caméraman, dans la pièce où ils se trouvaient, me démontrant les poses qu’ils prenaient, les réactions non-verbales qu’ils avaient. Encore à ce jour, c’est ainsi que tous mes personnages agissent. (Pas d’inquiétude, je sais bien qu’ils ne sont pas réellement vivants….ils ne le sont pas, n’est-ce pas?)
Donc après avoir vogué dans l’enseignement en classe, puis dans l’éducation à temps plein à la maison (quelques années à effectuer la tâche des moins socialement valorisées mais des plus gratifiantes : Présidente et directrice générale de la maisonnée) je me suis plongée dans le monde littéraire.
Ayant écrit mon roman dans le plus grand des secrets (pas le goût de me faire demander à tout moment : Puis t’en es rendue où dans ton roman?) j’ai osé l’envoyer à des maisons d’édition. Et me voilà portant le chapeau d’auteure! (Un accessoire souvent référé à titre figuré que j’ai porté du bout de la tête pendant une année avant d’oser l’enfoncer!)
Mes années d’expérience en enseignement au niveau collégial et universitaire (ai-je vraiment quitté un emploi permanent avec un fond de retraite garanti???) auraient pu m’influencer vers un choix de romans à saveur plus… intellectuelle. Mais non! Parce que quand je travaillais à temps plein (Euh…Ça toujours été le cas mais différemment d'une fois à l'autre), que je courrais entre le boulot, les enfants, les repas, mon souffle…les lectures dans lesquelles j’avais le goût de plonger le soir pour décrocher des responsabilités ne devait ressembler en rien au langage utilisé dans les ouvrages de références didactiques utilisés dans le cadre de ma vie professionnelle.
Je voulais être divertie.
Je voulais simplement m’évader de la charge mentale pendant quelques minutes, quelques heures (si ce laps de temps merveilleux m'était magiquement offert!).
En tant que lectrice, je voulais être passionnée par un monde imaginaire.
Être accrochée par des personnages attachants avec qui j’aurais voulu aller prendre un verre.
Maintenant, en tant qu’auteure, j’ai la chance de vous faire vivre cette sensation.
J’ai l’opportunité d’offrir à des personnages (ceux-là même qui prennent parfaitement vie dans ma tête!) un espace pour vivre, pour s’exprimer, pour devenir.
Subséquemment, tout ce que je souhaite, c’est qu’ils prennent vie dans la vôtre.
L’espace de quelques minutes, quelques heures, quelques jours...
L’espace d’un de mes romans.
Judith